Daihatsu K-Open : le retour de la fun car japonaise

il y a 1 sem. Laurent Zilli

Petite taille, gros caractère ! Au Japan Mobility Show 2025, Daihatsu a surpris tout le monde avec la K-Open, un mini-roadster qui ressuscite l’esprit des voitures plaisir d’antan.

À l’heure des SUV uniformes et des électriques trop silencieuses, cette Kei car décomplexée remet du sourire dans l’actualité. Propulsion, design rétro et surtout boîte manuelle : voilà une recette simple, mais terriblement efficace, qui nous avait cruellement manquée. Sous ses airs de jouet grandeur nature, la K-Open reste fidèle à la tradition des micro-roadsters japonais, chère à la Copen d’origine. Longue de 3,40 m, elle adopte une architecture à moteur avant mais propulsion arrière, un choix étonnant pour un modèle aussi compact. Le design, qui mélange rondeurs nostalgiques et touches modernes, évoque une époque où le plaisir passait avant le style exagérément agressif. L’habitacle, lui, se veut minimaliste : pas d’écran géant ni de gadget inutile, juste un levier de vitesses bien mis en avant et une position de conduite basse.

Un vent de nostalgie mesuré

La K-Open n’a pas la prétention de révolutionner quoi que ce soit. C’est un clin d’œil, une réinterprétation d’une époque où la voiture plaisir pouvait être simple et abordable, et dont la mythique Daihatsu Copen fut l’une des plus grandes ambassadrices. Daihatsu ne promet pas des performances décoiffantes, mais une expérience honnête, sans artifices. Reste à savoir si ce concept séduira au-delà du Japon ou s’il restera un caprice de salon pour les nostalgiques du modèle. Quoi qu’il en soit, la K-Open ose nous rappeler qu’on peut encore sourire derrière un volant.

Articles à la une

Vidéo


Veuillez accepter les cookies marketing pour voir les vidéos

 Ouvrir les préférences

Inscription à la newsletter

N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter

Je m’inscris