F1 : Alpine avec un moteur Mercedes et Sainz en 2026 ?
A peine de retour chez Alpine, l'ex-play-boy italien de 74 ans fait déjà parler de lui. Nettement plus charismatique que Bruno Famin, l'Italien nommé conseiller exécutif aurait en effet reçu les pleins pouvoirs de Luca di Meo, le grand patron de Renault, pour remettre Alpine sur les rails. « J'ai reçu carte blanche, » affirme le manager de Fernando Alonso et Mark Webber. Un sacré désaveu déjà pour Famin qui s'occupe de l'opérationnel, tandis que Flavio manoeuvre déjà en coulisses pour redonner des couleurs à l'écurie française malmenée ces derniers mois. « Je sais ce que ce je fais. Je ne suis pas ici pour l'argent. Je vous garantis qu'Alpine gagnera des courses et montera régulièrement sur les podiums en 2026. » Cela ne lui coûte rien d'annoncer cela pour motiver tout le monde. A commencer par Carlos Sainz qu'il espère bien récupérer. « C'est incroyable qu'un pilote de son niveau soit encore à pied. » L'Espagnol qui a remporté trois GP avec Ferrari et effectué un très bon début de saison pour la Scuderia a trois options : Williams qui recrute à tout va pour essayer de renouer avec son glorieux passé, Audi qui prépare activement son arrivée en F1 sur la base de Sauber, actuellement dernière du classement. Et enfin Alpine. Dans tous les cas, il ne s'agit pas d'un top team et l'Espagnol doit faire un pari sur l'avenir. Alpine a déjà rassuré Pierre Gasly, récemment confirmé. Pas question de revendre l'écurie. Avec un moteur Mercedes client dans deux saisons ? Ce n'est pas impossible. La rumeur circule et n'a pas été démentie formellement par Bruno Famin. Tout le monde sait qu'aujourd'hui le V6 Renault a un déficit de puissance et est le moins performant des quatre moteurs sur le plateau. Alors peut-on imaginer une Alpine-Mercedes à moyenne échéance en F1. Apparemment, cela se discute... Et cela pourrait mettre en confiance certains pilotes même s'il s'agirait là aussi d'une sacrée claque au constructeur français. Mais au final, on préfèrerait voir une Alpine qui gagne avec un moteur allemand que l'écurie vendue à des Américains.
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